Le coin des Morses
Pour ce deuxième samedi d'août, je retrouve Marc mon fidèle binôme, embarqué sur notre "Suscle II" avec à son bord 16 plongeurs et Geneviève assurant la sécurité surface.
Au programme recherche bloc de sécurité perdu la veille, s'étant décroché du pendeur, plongée sur le jardin et le dromadaire du Grand Conglué, baptêmes et apéritif dans l'eau avec du Ricard.
Arrivée sur les lieux, largage d'une première palanquée à la recherche du bloc de sécurité, à mon tour de plonger avec Marc et Henri et son binôme Youssef, en direction du jardin et de son dromadaire (lieu appelle ainsi: par ses bloc de pierres en formes de grosse bosses, tel que celles des dromadaires) nous y avons croisé : Sars, Murènes, Chapons, Dorades, Mérous, éponges, gorgones et bien d'autres espèce, après 45 minutes de plongée remontée à bord direction le port naturel de Plane, pour les baptêmes et l'apéritif au Ricard.
Après avoir jeté l'ancre dans la calanque du Pouard mise à l'eau des baptêmes, Anaïs et Mahel, mise à l'eau de la bouée et son plateau pour y déposer la bouteille de Ricard, les glaçons et les verres pour boire l'apéritif en toute convivialité entre Morses du bout du monde.
- Détails
- Écrit par : Jean-Claude Eugene
- Clics : 1562
De l'impérial de terre au baptême à la Boulégeade, pour finir par la "panne" du moteur du "Suscle II".
Pour ce premier samedi d'août: par une chaleur étouffante, un soleil de plomb et pas un brin d'air, ce qui m'a poussé à mettre ma combinaison de plongée dans la baignoire du club et de mettre une casquette trempée dans l'eau, pour me rafraichir mon cerveau.
Me voilà embarqué sur notre fidèle "Suscle II" avec comme pilote et capitaine Frédéric (le colonel), seul maître à bord.
Direction les impériaux de l'île de "Riou", par une mer plate sous un soleil radieux, arrivée sur les lieux nous décidons de plonger sur l'impérial de terre.
Pour cette plongée, j'aurai comme binôme Mathieu, photographe amateur très bien équipé.
Dés notr misee à l'eau nous descendons direction la voute à corail dans une eau dont la visibilité est très moyenne, chargée de particules.
Durant notre plongée nous avons pris de nombreuses photos de sars, murènes, mérous, dorades, nudibranches, etc.
Suite à cette plongée nous voici repartis pour la calanque de la "Boulégeade" pour faire le baptême de cette jeune sirène "Nissia" par notre JPP.
Durant le baptême les morses se sont mis à l'eau car la chaleur sur le bateau était insupportable. Sur le retour à notre base, "la panne" du moteur de notre "Suscle II", après avoir essayé un bon moment de trouver d'où venait cette panne, en apparence de l'arrivée d'essence, nous avons était remorqué par un autre bateau d'un club du coin.
Durant le remorquage, nous avons pu réparer (toujours problème de tuyau d'arrivée d'essence), le moteur redémarrant, nous avons remercié ceux qui nous avaient pris en remorque, pour enfin rentrer au petit port de "callelongue".
- Détails
- Écrit par : Jean-Claude Eugene
- Clics : 1149
Pour ce dernier samedi de juillet, la houle se levant et un vent d'est établi, les morses du bout du monde, décidaient d'aller faire une plongée à l'abri de la houle et du vent, dans le port naturel de Plane où plutôt île de "Calseraigne", où mieux encore la calanque du "Pouars".
17 morses à bord du "Suscle II" dont Henri et Momo qui seront mes compagnons de plongée, il y a aussi 3 baptêmes de plongée, qui seront effectués par nos moniteurs bénévoles.
Arrivée sur les lieux, nous constatons que nous ne sommes les seuls à avoir choisi ce site à l’abri des caprices de la météo.
Après avoir jeté l’ancre, sous le curieux regard d’un "Gabian" perché sur un rocher, la mise à l’eau pouvait commencer, en premier les photographes : Geneviève et Guy, suivis de François et Véronique son modèle.
Après la mise à l’eau de la bouteille de sécurité à 3 mètres, c’est au tour des morses de s'immerger: dans la calanque, l’eau y est claire et d’une température agréable, tout pour une plongée qui s’annonçait bien.
Direction sortie de la calanque main droite, vers la grotte à Perez, Nous ne sommes pas les seuls dans la calanque, mais les lieux sont assez larges pour tous les embarcations présentes. Après la mise à l'eau des photographes: Geneviève et Guy, François et Véronique son modèle, nous voici à notre tour immergés, nous partons main droite en direction de la grotte à Joseph.
Après 54 minutes et une profondeur de 29 mètres maxi, nous avons pu y croiser et y photographier, de nombreux : sars, dorades, chapons, mérous, girelles, rougets, loups, etc.
Encore une belle plongée à mon actif pour ma 75 ° année.
Après 54 minutes et une profondeur de 29 mètres maxi, nous avons croisé et photographié, de nombreux : labres, sars, dorades, chapons, mérous, girelles, rougets, loups, etc.
Encore une belle plongée à mon actif pour ma 75 ° année.
Je remercie mon fils spirituel Nelson pour le portage de mes bouteilles, qui avec chaque année qui passe, se font de plus en plus lourdes! Je félicite le grand Philippe pour son accostage malgré la houle et le vent au petit port de "callelongue" à notre retour.
Remise des diplomes de plongée à notre base.
- Détails
- Écrit par : Jean-Claude Eugene
- Clics : 1034
Pour ce samedi 21 juillet, après une nuit de violant orage sur "Callelongue" notre calanque du bout du monde, me voici embarqué avec Marc, Henri et huit autre Morses sur notre fidèle "Suscle II".
La mer est légèrement formée, le mistral commence à se lever, d’où direction le "jardin" qui se trouve sur la côte nord/est de l’île de "Riou" à l’abri du mistral.
Dés notre arrivée, nous constatons que nous ne sommes pas les premiers, déjà plusieurs embarcations de plongeurs étaient sur les lieux, la bouée d’amarrage étant occupée, nous avons donc jeté l’ancre non loin d’autres pneumatiques qui étaient eux aussi ancrés.
Deux rotations étant indispensables, pour la sécurité surface, d’où Marc, Henri et mes zigue, avons fait la deuxième rotation.
Dès l’arrivée de la première palanquée, nous nous sommes mis à l’eau, visibilité bonne, léger courant et une température de l’eau agréable.
Après 53 minutes et une profondeur oscillant entre 20 m et 10 m, nous avons pu y croiser, filmer et photographier, des familles de mérous déambulant entre les gros blocs de pierre, des compagnies de rougets de belles taille, de nombreux sars, quelque chapons, barracudas, diverse sorte de labres et bien d’autres.
Sur la route du retour, le mistral s’étant levé et la mer formée, à la pointe de la calanque du bout du monde, nous avons récupéré deux plongeurs n’ayant plus d’air dans leurs bouteilles, qui étaient en train de dériver dans la houle et le courant, plusieurs embarcations qui passaient par là n’avaient pas récupéré ces deux plongeurs qui faisaient des signes de détresse.
Voilà encore une plongée terminée avec panache.
- Détails
- Écrit par : Jean-Claude Eugene
- Clics : 1076
En ce 14 juillet fête nationale de la prise de la bastille et de la révolution, je ne parlerai pas du serment du "jeu de paume" (Le serment du Jeu de paume est un engagement solennel d'union pris le 20 juin 1789 à la salle du Jeu de paume, à Versailles, par 300 députés du tiers état, auxquels s'associent certains députés du clergé et de la noblesse lors des états généraux de 1789), ni de la Marseillaise chantée par les marseillais allant délivrer Paris, bref je ne vous parlerai que de la visite de l’exposition qui se trouve dans l’usine à plomb de l’Escalette.
Pour cela j’étais accompagné par "Gloria" la Clermontoise la compagne de "Philippe", qui lui plongeait avec nos morses du bout du monde.
Nous avons pris le bus de la ligne 20 celle de Callelongue / Madrague de Montredon, ce qui était déjà une aventure car Gloria qui n’avait jamais pris ce bus.
Arrivée quelques minutes plus tard, nous voici à l’escalette pour entamer notre visite des deux maisons de l’architecte "Jean Prouvé" et les sculptures de : Parvine Curie, Stahlty Lardeur, Coulentianos et Haber qui se trouvent dans divers endroits de l’usine.
Après plus d’une heure de visite en compagnie de notre guide, nous avons pu découvrir beaucoup de lieux que nous ignorons, ainsi que quelques histoires sur les raison pour lesquelles les usines "WEISS" de Callelongue qui faisaient de la soude caustique et de l’acide chlorhydrique à l’usine à Plomb de l’Escalette et "Legré Mante" à la Madrague de Montredon, le premier fabricant mondial d'acide tartrique y étaient implantées.
- Détails
- Écrit par : Jean-Claude Eugene
- Clics : 1234