Le coin des Morses
Nos collègues Jean Pierre Barrat, Yves Boyer et François Scorsonelli , mardi 13 avril, ont poursuivi l'aménagement du club.
Ils ont marqué les plombs du club à la peinture blanche, ont posé des crochets pour les bouts et les palmes et vidangé les compresseurs.
Va t'on reconnaître le club ?
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- Écrit par : Martine Malegue
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Ce samedi, cinq Morses dont un seul mâle était de sortie, pour aller faire une plongée aux Contrebandiers.
Une équipe de choc composée de,trois photographes (Martine, Gisèle et Céline). d’une DP (Laurence monitrice fédérale) et de notre infatigable Luc.
Vous pouvez découvrir quelques photos prises durant cette plongée par :
Gisèle la débutante photographe, qui a pas mal de problème d’exposition, mais qui parfois en réussit.
Ses binômes photographes
Céline photographe confirmée et biologiste.
Martine plusieurs fois primée dans différents concours, mais qui a bien souvent des problèmes avec sont appareil.
A leur retour, François, Marc, Jean Pierre et Yves les ont aidés à remonter le Barracuda, pendant que je surveillais la cuisson des pâtes que Luc avait apportées.
Les pâtes cuites sont mélangées aux légumes frits à la mode sicilienne de Martine.
Le repas pantagruélique est prêt a être dégusté en toute convivialité, tout en respectant les règles sanitaires.
Quel repas ! Pâtes à la sicilienne de Martine et Luc, cuisses de canard confites du colis de Noël de Jean claude.
Et pour clôturer ce repas, une excellente tarte au pommes à la cannelle concoctée par Laurence avec un gâteau de bananes au chocolat réalisé par Gisèle.
Encore un samedi qui restera gravé dans les anales du club des Morses du bout du monde.
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- Écrit par : Jean Claude Eugène et Martine Malègue
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Ce weekend de Pâques, j’ai eu le plaisir d’aider François à recevoir le club de plongée de Saint-Dizier, au nombre de 7, arrivés en début de semaine : "les Bragards". À Saint-Dizier, la légende locale veut que le mot provienne de François 1er qui, au terme de la lutte victorieuse face à l’armée de Charles Quint en 1544, se soit exclamé à l’adresse des habitants de Saint-Dizier « Ah, les braves gars !». La déformation de l’expression aurait donné au fil du temps le nom de Bragards.
Saint-Dizier est une commune française située dans le département de la Haute-Marne.
Le samedi matin ils ont fait une plongée avec une équipe de morses sur le" Suscle" vendu et prêté gracieusement l'acheteur.
Aujourd’hui, lundi de Pâques, c’était leur dernière plongée au club des Morses.Je me suis levé de bonne heure pour prendre François et Fanny une Bargarde.
Notre Rémy, descendu nous voir, était avec nous.
Nos 7 plongeurs de ST DIZIER étaient accompagnés de Gisèle notre nouvelle photographe "débutante".
Un exploit ! Car pour la première fois le bateau a quitté le port de Callelongue à 8H et les plongeurs se sont immergés à 9H aux Pharillons de l’île "Maïre". Après 50 minutes de plongée, nous sommes rentrés à la base, où iles "Bragards" nous ont fait leurs adieux.
Que dire de ces 3 jours passés en leur compagnie, ? Que du bien ! Des amoureux de la mer, sympathiques.
Bravo ! Avec tout mon amitié, bon retour et à bientôt.
Un fait qui nous a attristé, en plongeant sur le "Conglué", François a pris la photo d'une carcasse de dauphin désossé.
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- Écrit par : Jean-Claude Eugene
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Depuis le mois de mars, mois du printemps, le club fait peau neuve, après la rénovation des bancs, celle des volets.
Voici le résultat d'un peu de bonne volonté et d'un pot de peinture.
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- Écrit par : Martine Malegue
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Après une longue étude et grâce à une carte postale retrouvée datant des années où l’usine Weiss de "callelongue" existait, nous pouvons expliquer pour quelle raison cette ancre ainsi que le bloc de béton et son anneau sont là.
Si vous regardez la carte postale, vous verrez un remorqueur qui est amarré au niveau de l’ancre et du bloc de béton, vous y voyez aussi la rampe de chargement des mahonnes à fond plat, qui étaient remorquées jusqu'à l’anse du Pharo par le remorqueur en question. (l'Usine Rey-Weiss produisait de l’acide sulfurique et de la soude chimique de 1854 à 1894. A noter, derrière les bâtiments industriels, les logements pour le personnel dont la famille bénéficiait, et subissait la pollution émise par l'usine, jour et nuit).
Ce que l’on peut voir sur cette autre carte postale, est le sentier muletier qui allait au sémaphore. A l’époque il n’y avait aucun arbre dû aux retombées des fumées des fours de l’usine Weiss et celles du coin (l’usine à plomb de l’escalette et celle de la madrague).
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- Écrit par : Jean-Claude Eugene
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