Le coin des Morses

Que dire de l’inauguration où nous avons pu regarder et apprendre que l’eau de notre planète Terre venait de l’espace cosmique, toute une épopée, retracée en images de René HEUZEY  et commenté par le Professeur Benoit REEVES, dans un film "L’univers au fil de l’eau" suivit d’un pot de l’amitié pour les invités.

De nombreux stands: voyagistes, librairie, coraillerie, matériels photos, phares de toutes sortes, de la FFSESM, de différents pays: Brésil,  Papouasie Nouvelle Guinée,  MAYOTTE,  LA REUNION, etc.

J’ai été agéablement conquis, par le stand de la fédération de plongée Suisse, où nous avons pu apprécier leur pot de l’amitié, accompagné, par du parmesan arrivant directement d’Italie ainsi que la charcuterie, le vin lui était de Provence et le Stand "Blue lagoon" là où coulait abondamment la bière à pression.

Sans oublier ;  

- L’aquarium tactile où l'on pouvait toucher: Roussettes et Raie.

-  Le coin archéologie avec posé sur le sable: amphores et assiettes campaniennes, ainsi que l'atelier d'animations jeune public.

Jean Michel, notre chef cuisinier, lui participait à la tenue à coté du musée Frédéric DUMAS le stand HDS (Histoire développement subaquatique) avec une exposition de vieux matériels de plongée.  

Nous avons eu droit au défilé Brésilien où de charmantes "Cariocas" dansaient sur un air de tambour et maracas, au poisson "Némo" évoluant dans l’air, télécommandé par une charmante hôtesse.

Le samedi matin, des morses se sont mis à l’eau, après le repas du midi : Martine, Laurence, Natalie, Cathy, Geneviève, Lucien, Eric, Bruno, Guy, Etienne, Philippe, nous ont rejoint au festival.

C’est là que Martine a retrouvé deux de ses anciennes élèves qui étaient hôtesses de cette manifestation, ainsi  que notre président Blanchard, celui que Martine au Salon de la plongée à Paris a pris pour le Président de la Fédé Corse (forcement il lui servait de la coppa, du lonzo et du patrimonio). Une bonne technique pour se faire embrasser par notre président!

Nous avons assisté à la remise des prix: palmes, d'or, plongeur d'or, d'argent et de bronze, etc..Personne de nous n'a été nommé, il faut dire qu'il n'y avait que deux photos en concours : l'ancre de Callelongue de Jean Claude et les Lampions de Lulu.

Oh les filles, oh les filles !
Elles me rendent marteau
Oh les filles, oh les filles !
Moi je les aime trop

Il y avait Nathalie, Catherine, Emilie, Laurence, Myriam, Morgane et Martine

Ce samedi, au moment de partir vers le Site des Moyades, JP qui pilote le bateau constate en manœuvrant  qu’il est entouré de 7 filles sur 10 Plongeurs.

Exceptionnellement nous sommes majoritaires.

Oh les filles, oh les filles ! Trop fortes les filles !

 Les  garçons ont pris peur à tord,  car  comme d’habitude nous nous sommes bien comportéees. 

Nous voila embarqués pour une plongée sur l'île du Planier.

Mise à l'eau non sans peine du "Barracuda II "premier problème le détrompeur de l'essence du jerricane ne s'adapte pas sur celui du filtre moteur, après une brève intervention de Marc et moi-même, nous branchons directement le tuyau du jerricane sur le moteur.

Nous voilà partis pour Planier rejoindre le "Suscle II" quand le "trim" se met  en position haute, d’où arrêt moteur et impossibilité de le redescendre.

Après dialogue par téléphone entre Lucien le mécanicien et Marc, pendant que Michelle se prépare avec ses palme à nous pousser alors que Geneviève et les deux Didier se sont mis à ramer vers les "Pharillons"   on débranche le bouton "trim" qui se trouve sur le moteur.

Après plus d'une demi-heure de panne nous voici prêts pour repartir, nous décidons d'abandonner Planier,  pour faire une plongée sur l'épave du "Liban"

Au pied des "Pharillons", dont nous avons apprécié la température de l'eau, sa clarté et notre palier aux arches des Farillons, où deux énormes sars tambour on joué les modèles pour Marc, Geneviève et mezigues.

D’autres que bien plus expérimentés ne connaissaient pas encore le Ker-Bihan. Je suis que chacun se reconnaitra dans ces mots.

Outre, la faune classique, nous avons également pu observer les tacots qu’on ne rencontre pratiquement que sur les épaves chez nous, alors qu’ils sont légion et beaucoup plus gros en Bretagne, enfin c’est ce qu’on m’en a dit, car je suis plutôt un fana des eaux chaudes et claires et je n’ai jamais pu lé vérifier de mes propres yeux.

Rendez-vous l’année prochaine.