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Voilà un nom qui devrait éveiller l'intérêt de plus d'un morse : le requin baleine, un must pour ceux qui l'ont vu, un mythe pour les autres. Vous allez déchanter car ce n'est pas ce que vous croyez. Il y a bien des requins baleines au Kenya, mais je n'en ai pas vu (encore !). Non, le "Requin baleine" ou mieux le "Whale shark", c'est le nom que j'ai donné à ma land rover toute neuve. Enfin, elle a déjà quelques kilomètres au compteur car je ne la ménage pas. Bleue avec un toit blanc, il ne lui manque plus que des points blancs un peu partout pour ressembler à un requin baleine. J'hésite à sauter le pas car comme elle est, elle a la couleur des lands de la police de la route. Je ne l'ai pas fait exprès mais c'est bien pratique : avec mes plaques diplo rouge, quand j'arrive à un barrage routier, et il y en partout pour ramasser quelques sous, tout le monde se met au garde à vous pour me laisser passer. Ils doivent être un poil surpris de voir un blanc mal rasé en T-shirt répondre à leur salut avec la mauvaise main, mais le général Mzungu est déjà loin quand ils reviennent de leur méprise. Ils ne leur restent plus qu'à se consoler en admirant ma superbe housse de roue de secours : un requin baleine vue de l'arrière avec la mention "dive club of Nairobi". |
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Enfin, les policiers restent plus aimables que le rhinocéros du parc national de Nairobi qui tout à coup s'est mis à charger ma land alors que j'étais en train de manger un sandwich en le regardant s'approcher gentiment. Juste le temps de mettre le contact et le pied sur l'accélérateur pour éviter une jolie décoration en trou de corne de rhino dans l'aile arrière gauche. Dive club of Nairobi, c'est vrai, il y a bien une section plongée au Moutain Club of Kenya, mais la mer est si loin. J'ai bien réussi à aligner quelques plongées, mais je ne suis même pas certain d'avoir rempli une carte de dix plongées en huit mois. Et je suis pourtant le plus assidu ! Bamburi, Kilifi, Watamu, celà sonne exotique mais c'est pas l'île coco. Enfin, les récifs sont en plutôt bon état, il y a beaucoup de coraux et poissons multicolores et faunes étranges (poisson feuille, mantys shrimp, murène nid d'abeille ou verte, nudibranches variées, poissons clown, papillons, chirurgiens, perroquet, mérous de diverse espèces ... ) mais on s'habitue comme à tout. Il manque un peu d'éléments exceptionnels. J'ai bien plongé sur une belle épave avec raie pastenague de grande taille, bancs de dentis et barracuda, mérous de grande taille et j'ai vu quelques requins de récif à pointe blanche, mais je reste sur ma faim Enfin, je vais essayer de programmer une expédition sur un grand catamaran avec les camarades du club en Novembre prochain. L'idée est d'embarquer à Mombasa, traverser -60 miles- pour aller à l'ile de Pemba au nord de la Tanzanie et de plonger avec les clubs locaux. Mais c'est complexe. |
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En bref, la plongée n'est pas la panacée à Nairobi. Il vaut mieux camper, fréquenter les parcs nationaux et profiter de la faune exceptionnelle. Grâce à mon gentil papa, je suis maintenant super équipé. J'ai eu droit à deux malles de gadgets indispensables. A commencer par la tente sur le toit, très confortable et sécurisante quand la nuit vous entendez les hyènes rire de votre frousse ou un éléphant calmer un petit creux juste à côté. Tout le nécessaire également pour servir les repas cinq étoiles mitonnés par mon cuisinier personnel Moses. C'est pas un spécialiste de la bouillabaisse, mais il fait un excellent lapin chasseur ou osso bucco. Et vous pourriez même trouver savoureuse sa ratatouille. J'ai donc frigo (dans la voiture si,si), table pliante, fauteuils pliants, cuisinière à gaz, grille chromée pour les grillades ... Mais je n'ai pas oublié les camarades car il me reste des tentes frisbee et quelques matelas pneumatiques supplémentaires.
Voilà ce à quoi j'occupe donc mes weekends. Expédition pour aller camper en pleine nature avec les camarades du Mountain club. Le but est souvent d'aller grimper une montagne au milieu de nulle part. Cela fait une coupure après la route et c'est tellement plus sympathique de parcourir la brousse à pied. |
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| Et puis, ce n'est pas la même chose de rencontrer un buffle à pied que planqué dans une carrosserie. Deux semaines après mon arrivée, j'en ai surpris deux couchés dans les hautes herbes qui se sont soudain mis debout devant moi et à me regarder d'un sale œil. Non, je ne suis pas marseillais, il y avait même quatre yeux très mauvais à me regarder, que je me suis dit, Bonne Mère, c'est la fin ! Heureusement, ils ont choisi de fuir. Je dois avoir l'œil encore plus mauvais. | |
| Ma dernière occupation est la randonnée à cheval. Enfin j'essaye. Il y a beaucoup de chevaux au Kenya et pas mal de safari à canasson. C'est idéal pour approcher les animaux, car ils n'ont pas peur des chevaux et j'imagine que c'est plus sécurisant. Le seul problème est le prix, car c'est toujours du grand luxe pour américains. Heureusement, avec les élections et la saison des pluies, ils font des prix pour les résidents. On en a profité avec quelques camarades cavaliers pour tenter l'expérience. Phénoménal. Imaginez un réveil à l'aube et une ballade au milieu du bush à pister les animaux. Un petit galop pour se réveiller et soudain au détour d'un virage, vous surprenez quelques girafes qui abandonnent leur déjeuner de feuilles et d'épines pour s'enfuir à l'amble. Comme vous êtes déjà au galop, vous accélérez et votre cheval vous suit. Voilà, vous y êtes. Fatigué ? Les émotions creusent alors on vous sert un brunch sur une table dressée sous un acacia, avec nappe et argenterie et vue sur le Kilimandjaro enneigé. Pas encore rassasié ? | |
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Votre guide vous trouve un bel éléphant mâle avec des défenses impressionnantes. Il vous laisse prudemment à 50 mètres et puis va le provoquer pour déclencher un début de charge, trompe dressée et oreilles battantes. Blasé ? Alors là je peux plus rien pour vous. Il me faudra revenir prendre une leçon de galéjades à Callelongue sans doute en juillet prochain pour améliorer ma façon de raconter les histoires. A bientôt camarades ! |
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Ecoulement, Ancrage et Sardinade.
| Samedi dernier, sous la houlette du nouveau Président du CIQ de Callelongue, (le beau fils du pauvre Momon) : Guy Baratto, le Président du cercle nautique en compagnie de son épouse et membres du bureau , une réunion de concertation avec quelques voisins cabanoniers, ayant des reproches à nous faire. (Écoulement des eaux de rinçage sur la rue, bruits du samedi matin et du midi, car quelques uns d’entre nos Morses, auraient la voix trop haute, sans oublier le problème de vis-à-vis de notre voisin le plus proche), bref, que des petits griefs, que nous avons décidé d’essayer d’y remédier. | |
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Donc le samedi suivant le 13 avril, comme à l'habitude, Lucien, Marc et mes zigues nous revoilà au travail. Tout d'abord, trouver une solution pour que l'eau de rinçage du matériel de plongée, ainsi que l'eau qui dégouline des combinaisons mises à sécher sur l'étendage, s'évacue ailleurs que dans la rue, afin d’éviter les jérémiades de certains de nos voisins. Là, entre nos trois comparses, fusent des discussions, à haute voix, (déjà une incartade de notre part, mais nous avons le verbe haut et en couleur c’est dans notre nature !) des invectives, des directives, suivit de nombreux vidages de brocs d'eau jetés à même le sol, aux différents endroits de l'entrée de notre base, pour voir la direction quelle prenait. |
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Après ces essais, nous décidons d'un commun accord de faire deux trous d'accès au regard d'écoulement des eaux usées, qui se trouvent devant la porte d'entrée et faire deux rigoles, pour canaliser le flot ininterrompu de l'eau de rinçage au retour des Morses plongeurs. |
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Mais nous n’étions pas au bout de nos peines, il restait l'ancrage à refaire sur notre anneau "42", ce qui ne fut pas une mince affaire. Première difficulté, faire marcher le treuil que Lucien avait amené, Marc s'est débattu, pour enfin arriver à le décoincer, nous accrochons donc une partie sur l'anneau de la chaine et l'autre sur un maillon plus bas et voilà que la chaine commence à remonter pour enfin la raccourcir. Il ne manquait plus que nos plongeurs arrivent, pour qu'ils puissent rattacher la bouée sur notre chaine mère, ce qui a été fait avec beaucoup de bonne volonté et d'efficacité, par Mathieu et Mohamed, vous pourrez les féliciter. Suite à toutes ces péripéties, nous retournons à notre base où le barbecue commençait à fumer, dans l'attente de notre rituelle "sardinade", gracieusement offerte par notre membre d'honneur le "Têtard" ou plutôt notre Ami Gabriel Di Doménico. |
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Après que Guy 218 ait allumé le feu, "Anne" (notre agricultrice bio) et moi, nous nous sommes mis aux manettes, mettant les sardines encore toutes tremblantes de peur à la chaleur du barbecue. En attendant que les sardines soient à point, Laurence aidée par plusieurs d’entre nous préparait l’apéritif, moment de convivialité et de discutions plus ou moins philosophique !.... |
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La première sardine cuite, apportée par "Martine" (le, parait-il nouveau numéro 118 ?...) fût gouté par notre Lulu National.
La suite, la nouvelle "118" continuera le récit de cette sardinade… |
| -Lucien : Alors elles sont cuites ces sardines ?
- Jean Claude : Martine va chercher une assiette et apporte la première sardine à notre Président. J’exécute les ordres. -Martine : Monsieur le président, s’il vous plait, goûtez la sardine et donnez nous votre avis. -Lucien : Elle n’est pas assez cuite et elle n’est pas assez salée. Aussitôt dit, Anne et Jean Claude rectifient la cuisson et salent à nouveau le lot de sardines sur le barbecue. Une nouvelle gustation du Président qui cette fois-ci, valide la cuisson et donne le feu vert pour démarrer les agapes. Et là, le festin commence, les morses remplissent les assiettes et se délectent, il y a en même qui vont jusqu’à manger la tête (j’en fais partie), se sucent les doigts, reprennent une sardine, boivent un coup de rosé ou finissent leur pastis, parlent fort et refont le monde. |
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Pendant ce temps Anne et Jean-Claude qui sont toujours devant le barbecue, s’activent, retournent une à une les sardines, remplissent les assiettes, mangent une sardine sur quatre. Bref, aujourd’hui encore, sur la terrasse du club, la convivialité est au rendez vous, accompagnée d’un soleil radieux et chaud. Enfin ! Les Morses fêtent le printemps ! Encore un grand merci à notre Dido "dit le têtard" qui généreusement nous offre ce bon moment. On est bien dans ce club ! Nous avons une petite pensée pour nos quatre membres qui sont en vadrouille en Thaïlande. Dans la vie on ne peut pas tout avoir, les langoustes et les sardines. |
Photos : Marc MORAND
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En ce samedi 23 mars (mois des fous) dés l'ouverture de la porte de la grande salle du club des Morses, une odeur pestilentielle m'interpelle. J'ouvre la porte de la cuisine et celle du frigo, pas de lumière intérieure frigo, ni extérieure, je poursuis mon investigation et trouve le disjoncteur général du tableau de la grande salle à zéro, je venais de trouver la cause. Dès l'arrivée de Martine et Morgane je les mets sur l'affaire, ce qu'elles ont fait avec beaucoup de dévouement: vider et nettoyer le frigo, nous les félicitons. |
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Mais le plus important n'était pas encore arrivé, en effet voilà que notre Lulu national arrive avec un nouveau robinet mélangeur chinois (vous voyez le genre pas cher mais casse co....es), Marc, plein d'entrain après avoir démonté les purges du vieux compresseur et changer les électrovannes dés son arrivée, commence le travail sous le regard inquisiteur de Lulu, lui disant qu'il faut démonter l'évier pour pouvoir avoir accès au robinet. Après avoir bataillé dur pour enlever l'évier, voilà l'arrivée de Bruno qui se propose de continuer le travail afin que Marc puisse continuer les inspections visuelles des bouteilles. |
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| On n'était pas encore au bout de nos peines, Lulu nous montre le nouveau treuil à monter sur la remorque du Barracuda 2, on se serre les coudes et pendant que Bruno s'occupe de faire les branchements de l'évier, Lulu, Jean-Claude, Luc et Marc descendent changer le treuil; facile à dire mais il a fallu démonter l'ancien, positionner, ajuster, régler, bref du travail d'orfèvre; on attend que le bateau gris revienne pour l'essayer; il est 11h30, l'heure de l'apéro, ça tombe bien, Bruno a apporté une bouteille de punch de la Réunion qu'il a négociée avec sa copine Lucia (il est arrivé à 10h ce matin...), le premier verre passe tout seul, le deuxième s'apprécie encore mieux, on se restreint pour en laisser un peu aux autres qui reviendront de la plongée vers 12h30 (départ à 10h et 2 rotations). |
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Marc continue l'inspection des bouteilles, une fiche par bloc, Luc s'exécute: "1097", bouteille du club, "AA20788" encore le club, ça rigole pas, tout est consigné dans le classeur TIV! Lucien et Jean-Claude parlent fort (ils s'engueulent) car ils rangent la cuisine, après vérification tout va bien "ils parlent normalement... "
Le bateau tarde un peu, les plongeurs téméraires, JPP le DP, Martine et Guy-tou le nouveau couple de photographes (le divorce de 118-218 se profile à l'horizon), Morgane, Xavier (le fils de Gene, bon sang ne saurait mentir), et Philou le grand; à votre avis quel moniteur s'occupe de la formation de Morgane N2, JPP ou le Grand, d'après Lulu ...........mais chut!!! Martine, Bruno, Marc et Jean Claude. |
| Voilà voilà après être remontée vivre dans des contrées nordiques depuis mon départ de Marseille, je me suis accordée une pause exotique dans mes pérégrinations normando-bretonnes! Eh oui j'ai eu la chance de décrocher un contrat de 2 mois d'observateur des pêches thonières et je suis donc partie le 30 décembre direction l'Afrique pour embarquer au port d'Abidjan sur un thonier français. Et donc comme promis de retour en France après 2 mois et demi de mer jva vous compter mon périple! | ![]() |
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Le choc thermique fut surprenant une fois descendue de l'avion, 35°C un 31 décembre je n'avais jamais vécu ça, moi la fille du nord qui était partie la veille de Lille sous la neige! Deuxième choc, à peine passée les portes de l'aéroport, je découvre l'Afrique, enfin disons une grande ville d'Afrique, avec sa saleté, sa désorganisation routière hallucinante et l'harcèlement de la population locale pour obtenir un peu d'argent de la part de tous les européens qu'ils croisent! Sur la route jusqu'au port, dans notre minibus, je découvre un peu plus mon équipage français et l'ambiance de marin, je rigole bien et je commence déjà à me faire sérieusement taquiner, je me dis que les 2 prochains mois risquent de promettre! |
| Après le dîner et avoir découvert le reste de l'équipage qui est africain (16 hommes), les marins français me proposent une sortie nocturne dans Abidjan, je suis fatiguée mais je me dis que le lendemain on part pour 8 semaines de mer, c'est le moment ou jamais pour découvrir un peu, puis rien de tel pour s'intégrer à l'équipage moi qui vais être la seule fille à bord durant la marée! Nous voici donc partis à 8 dans un taxi de 6 places (ambiance à l'africaine) direction le St-Germain, qui, je ne le saurais qu'une fois arrivée et en fait un bar à putes, eh oui qu'est-ce-que je m'imaginais moi, je suis avec des marins, bretons de surcroît! Après quelques heures dans l'ambiance sulfureuse des boites de nuit Abidjanaises et quelques bouteilles de whisky descendues nous rentrons au port, mes marins sont en charmante compagnie (on a du prendre 2 taxis cette fois!) et totalement bourrés, sur la route on subit barrage militaire sur barrage militaire pour contrôle des papiers, on se fait voler nos passeports par un militaire et on doit payer 50 000 Francs CFC chacun pour les récupérer (vive la corruption!!!). Bref mon intégration est réussie, mais je me dis que l'Afrique ça craint et j'ai hâte de prendre la mer! | ![]() |
| Lendemain matin 8h, tout le monde sur le pont, on largue les amarres, l'aventure commence, nous sortons de la lagune d'Abidjan direction le grand large et plein sud. Au cours de cette marée j'ai passé à plusieurs reprises l'équateur, ça m'a permis de voir si le tourbillon d'eau qui se vide dans le lavabo change bien de sens de rotation (merci Coriolis!), je me suis retrouvée au beau milieu de l'atlantique par 17°O et nous avons bien sillonné le golfe de Guinée de tous côtés pour chercher les thons. Parfois nous étions des semaines sans croiser d'autres bateaux, puis lorsque de gros thons étaient signalés c'était la guerre, on se retrouvait à 20 thoniers (français, espagnols, coréens) sur zone à faire du bateau tamponnant pour attraper les thons. C'était impressionnant et effrayant car les capitaines se frôlaient à moins de 5m les uns des autres, autant dire que lancé à 15 nœuds avec des thoniers de plus de 70m de long la moindre collision aurait eu des conséquences graves! | |
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J'ai appris énormément durant cette aventure sur la pêche et les marins. La pêche au thon est très technique avec son immense filet de 1500 m de long et de plus de 200 m de profondeur, et aussi assez dangereuse dès que quelque-chose se passe mal avec les câbles ou le filet. Les forces mises en jeu sont colossales, et quand les gars vous racontent les accidents qui se sont produits sur les thoniers ça fait froid dans le dos. J'ai acquis énormément de respect pour les marins et j'ai pu découvrir qu'ils n'étaient pas les inconscients qu'on essaie de nous faire croire à l'université. Ils savent très bien que leur pêche n'est pas toujours sélective, et que l'on pêche trop, j'ai même entendu sortir de leur bouche qu'ils sont pour des quotas à la pêche au thon en Atlantique, car en 40 ans de pêche ils ont vu la ressource diminuer, mais on en revient toujours au même, ce sont les armements qui décident et cherchent à faire le plus de profits possible, toujours des histoires de gros sous... |
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J'ai eu un équipage français et africain génial, qui certes me taquinait beaucoup mais toujours au petit soin avec la « fille du bord », j'ai participé à toutes les tâches à bord, cuisine, lessive, ménage, potasse, réparation du filet, peinture, quart de jour, quart de nuit, recherche des thons aux jumelles … Bref j'ai été un marin quasiment à part entière et j'ai adoré ça. J'ai vu des dauphins de toutes espèces, une baleine, des tortues, des requins, des dorades coryphènes, et évidemment des thons. Mon seul regret est de ne pas avoir pu plonger dans ces eaux à 30 degrés peuplées de toutes ces bestioles, mais bon j'étais là pour le travail et sur un bateau ya pas de jours de congé, ni jours fériés, ni week-end, c'est 8 semaines non stop de 5h à 19h. |
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Voilà cet article n'est qu'un échantillon de ce que j'ai vécu là-bas et de ce qui est la meilleure expérience que j'ai vécu jusque maintenant, si on me demande de repartir demain je repars! J'aurais encore beaucoup de chose à vous faire partager, mais je garde ça pour quand je viendrais vous rendre visite !!! Prenez bien soin de vous mes morses adorés, gros bisous à tous ! |
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