Le coin des Morses
6 ème Festival GALATHEA de Hyères
Pour cette sixième édition du festival "Galathea" J’étais invité par son Résident Michel HURTAULT
Une manifestation très riche ; avec de nombreux exposants de livres en vente, de tee- shirts , de légos,, avec des conférences diverses, avec des projections de films, avec des jeux pour les enfants et adultes. Il y avait aussi le stand de la sirène, le musée DUMAS, la SNSM, les BD, Zéro Déchet et bien d’autres.
Manifestation parrainée entre autre par : Nathalie LASSELIN exploratrice et cinéaste.et Lionel PEAN navigateur.
Nous avons fêté les 90 ans de Daniel MERCIER créateur du festival mondial de l’image sous marine d’ANTIBES, une soirée inoubliable.
Le jeudi soir nous avons pu déguster une paëlla extraordinaire offerte par le cercle nautique, , bref un très bon festival.
Un seul petit regret, c'est que nos photographes de Callelongue ne se soient pas inscrits aux concours, ils auraient certainement gagnés un prix, voir plusieurs. Alors rendez vous à 2022 !
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- Écrit par : Jean-Claude Eugene
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Ce mois de Novembre commençant par la fête de tous les saints, au club des Morses du bout du monde en ce premier samedi, nous receptionnons avant la plongée le nouveau Bateau "Le Toine". Tous les Morses, plongeurs et ceux venus prêter main forte, effectuent la mise à l'eau du beau Toine.
Le Toine piloté par François part avec les 6 plongeurs d'Aubagne.
Et sur le "Morse" s'embarquent 10 plongeurs avec les 2 baptêmes, direction le port naturel de "Plane" ou plutôt la calanque du Pouars.
Deux palanquées de 3 plongeurs se mettent à l'eau : Jean pierre, Patrick, Mario, et Marc, Henri, Gisèle.
Pendant que j'assure la sécurité surface, Laurent et Martine font les Baptêmes de Joelle championne du monde de nage en eau froide et de Patrick son mari.
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- Écrit par : Jean-Claude Eugene
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Vendredi 5 novembre, après la mise à l’eau de notre nouveau bateau « Le Toine », on a plongé sur le site de la Grotte à Corail.
Une grotte dont le plafond est couvert de Corail. Lorsque l’on sort de la grotte il y a un champ d’anémones blanches. Du jamais vu ailleurs !
Autour de la grotte il y a de gros blocs colonisés, posés sur du sable où se cachent des mérous, murènes, rascasses et chapons
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- Écrit par : Martine Malegue
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Pointe Techobanine (Requin Baleine)
Le week-end des fêtes de Noël approchait à grand pas. A mon grand désarroi, car l’idée de passer les fêtes seul, au bout du monde, loin de la famille ne m’enchantait guère. Le moral n’était pas au plus haut, c’était le moins que l’on puisse dire. Je m’étais déjà résigné quand Zé nous proposa à moi-même et à mes camarades Lluis et Esteban de venir camper à la pointe Techobanine, dans le campement de son ami Rodrigues, soit en pleine brousse au bord de l’océan, à mi-chemin de la frontière Sud africaine en partant de Maputo.
« Il faudra prendre le premier ferry pour Catembe à 5 heure du matin. Pour cela, Il faut absolument être dans la queue à 4 heure, car le ferry ne peut prendre que quelques voitures à la fois. Et pendant les vacances, c’est la bagarre pour embarquer ! ».
Encore une fois il fallait se lever au milieu de la nuit, mais l’enjeu en valait tellement la peine qu’il ne nous venait pas à l’idée de nous plaindre. Zé trainait le Pescador sur sa remorque derrière son fidèle pick-up Toyota Hilux, un 4x4 doté suspension à lame de ressort qu’il avait eu en cadeau pour ses dix huit ans. Avec la nourriture pour dix jours et tout l’équipement de camping entassés dans la benne sous une bâche bleue, le tout représentait vraiment un sacré attelage. Mais ce n’était rien d’extraordinaire en comparaison du capharnaüm de la foule de piétons et de véhicules qui embarquait dans le chaos le plus total pour traverser le fleuve Umbeluzi. L’empilement était tel que nous avions pris refuge sur le toit du pick-up et sur les bagages pour se garantir un espace et profiter du spectacle.
A l’arrivée, l’ouverture des portes libérait la masse humaine qui se ruait hors du ferry, peut être pour ne pas être écrasée par les véhicules tout aussi impatients de prendre la route. Heureusement passé les deux premiers kilomètres, nous retrouvions la sérénité de la brousse. Il faut dire qu’avec un ferry par heure, les quelques véhicules avaient vite fait de s’égayer sur l’étroite piste en terre.
Quelle joie alors de s’enfoncer dans la brousse africaine ! Nous roulions dans un paysage presque vierge de trace de civilisation : de très rares bâtiments en dur, pas de lignes électrique ou téléphoniques même si nous croisions de temps à autres quelques cases traditionnelles et de modestes champs de manioc au contour irrégulier.
Parfois, une immense flaque d’eau barrait la route, mais Zé fonçait droit dedans sans même ralentir. Nous étions pris d’effroi les premières fois. Et puis voyant qu’il n’y avait pas de risque de rester embourbé, nous n’y voyions plus qu’un amusement. Attention toutefois à celui qui oubliait de fermer sa fenêtre, les gerbes d’eau boueuse soulevée par le pick-up Toyota ne faisaient pas de quartier.
Après quelques heures de route, Zé pris une piste de sable à peine visible en direction de la mer. Bientôt, nous aperçûmes une immense lagune, entourée de roseau et de savane. Elle servait de refuge à toutes sortes d’oiseaux. Aussitôt Zé nous mis en garde sur le fait d’aller nous baigner sans précaution.
« Attention aux crocodiles. Régulièrement il y a des villageois qui disparaissent en allant se laver ou chercher de l’eau. Méfiez vous si vous allez nager ! Il y a aussi des hippopotames. Rappelez-vous que l’on est tout prêt de la réserve des éléphants.»
Message reçu cinq sur cinq, nous avions même peur de descendre de la voiture. Surtout quand il fallait descendre pour débarrasser le chemin d’un arbre tombé à grand coups de machette. Enfin, après quelques derniers efforts, nous entreprîmes l’ascension du cordon dunaire entre lagunes et océan et nous atterrîmes dans une forêt sèche bien ombragée qui abritait la terre promise : le fameux campement de la pointe Techobanine.
***
Nous allions découvrir en la personne de Rodrigues un sacré personnage. D’origine portugaise, tour à tout mozambicain puis sud-africain, Rodrigues avait déjà un certain âge comme le prouvait sa crinière toute blanche. L’histoire mouvementée du pays et son appétit pour l’aventure l’avait conduit non seulement à changer de nationalité plusieurs fois, mais aussi à faire toutes sortes de métiers.
Né peu après la seconde guerre mondiale, il avait dans sa jeunesse exercé la profession de guide de chasse. C’était probablement un des derniers chasseurs professionnels. Métier qui finit par disparaître au Mozambique avec j’imagine la diminution des populations animales, l’évolution des mentalités mais surtout la guerre civile. Rodrigues parlait plusieurs dialectes mozambicains dont le Shangan. Il s’était reconverti en armateur/mareyeur et avait fait fortune en vendant poissons et fruits de mer en provenance du Mozambique aux restaurants de Durban en Afrique du Sud.
Il avait décidé de prendre sa retraite dans ce bout de brousse, qu’il acceptait de partager avec nous, pour notre plus grand bonheur. Installé sur son deck perché dans les arbres d’où l’on pouvait entrevoir la mer au dessus de la végétation, assis dans son fauteuil avec une provision de bananes qu’il dispensait aux singes semi-apprivoisés et aux enfants qui venaient le saluer, il nous racontait des histoires captivantes de sa jeunesse de chasseur blanc.
Je me souviens tout particulièrement d’une histoire de chasse au léopard qui ne pouvait que fasciner les apprentis broussards que nous étions. Tout commençait par la négociation et le sacrifice du cabri qui servirait d’appât. Il fallait ensuite choisir soigneusement un grand arbre, avec une branche sur laquelle, depuis une cache au vent, il y avait une ligne de mire dégagée. Venait alors le temps de préparer la cachette, d’où l’on pourrait observer sans être ni vu, ni senti l’arbre choisi. Le plus dur était de hisser la carcasse sur la branche et de l’amarrer solidement. Enfin, et c’était la botte secrète de Rodrigues, il se servait d’une canne à pêche pour hameçonner le cabri et tirer un fil de nylon transparent de la branche jusqu’à la cachette. Il ne restait plus qu’à approvisionner la cachette de boisson et sandwich et s’armer de patience.
Le léopard arrivait invariablement à la tombée de la nuit, mais parfois après plusieurs nuits de patience. D’une discrétion absolue et quasi-invisible avec sa livrée tachetée, il était pratiquement invisible à l’œil nu. Il aurait pu subtiliser sans peine la carcasse de 30 kilos et s’enfuir en trois bonds dans la forêt si elle n’avait pas été attachée. La lutte pour arracher le cabri de l’arbre ne manquait jamais de faire bouger la canne. Il fallait alors se dépêcher de profiter des dernières clartés pour ajuster son tir à la lunette. Nous n’étions pas particulièrement chasseur et pour nous, c’était une époque révolue. Mais ces histoires nous captivaient. Pensez donc : une pêche au léopard ! L’idée de pouvoir observer sans être vu un fauve si élusif grâce à ce stratagème ingénieux ne faisait que renforcer notre fascination pour le personnage.
***
Le lendemain, nous allions découvrir que mettre un bateau à l’eau sur cette plage de sable sans fin était une véritable science. Zé nous expliqua qu’il fallait tout d’abord attendre la marée basse. Ainsi le banc de sable qui prolongeait la pointe Téchobanine faisait en se découvrant une sorte de bassin. L’endroit était ainsi temporairement protégé des assauts de la houle, qui le reste du temps déferlait et se brisait sur la plage. Nous remerciâmes donc les dieux d’avoir programmé la marée basse pour la fin de matinée, ce qui nous assurait de pouvoir rattraper un peu du sommeil perdu de la veille.
Zé commença par dégonfler les pneus de son pick-up et de la remorque. Ainsi en s’écrasant, la surface de contact était beaucoup plus grande, ce qui selon ses explications diminuait d’autant les chances de s’ensabler au mauvais moment. Mais il maniait son attelage avec beaucoup de dextérité et d’assurance, aussi nous n’étions pas inquiets. Il déposa le Pescador à la lisière du bassin. Puis, une fois le Toyota et la remorque conduits à l’abri de la marée, nous poussâmes la proue vers le large et attendîmes une vague un peu plus grosse que les autres pour soulever le zodiac. Le moteur démarré, Zé le volant bien en main, il fallait alors se hisser sur les bras à l’intérieur du bateau pour partir sans tarder vers le large en négociant les vagues. La manœuvre effectuée de main de maître, nous filions sur une mer d’huile vers le large et les sites de plongée, naturellement « fabuloso » comme le promettait Zé.
A quelques centaines de mètres du bord nous attendaient des kilomètres de récifs à explorer. Nous devions prendre notre tour pour plonger : Lluis et Esteban en premier binôme, Zé et moi-même en second binôme. La première destination était un site que Zé nommait « les statues » parce qu’il y avait de nombreuses colonne de pierres envahie de corail. Reliées au fonds par un mince pédoncule, elles rappelaient en effet avec un peu d’imagination des statues. Lluis et Esteban qui venaient de découvrir la plongée partirent les premiers dans cette eau transparente et peu profonde. L’eau était si claire que nous pouvions les suivre de la surface.
Pas une ride, nous étions en train de pêcher à la palangrotte pour patienter et alimenter le barbecue du soir de petits mérous multicolores. Distraits par notre pêche, nous avions perdu de vue nos camarades. L’heure de sortie estimée était selon nos calculs passée depuis quelques temps déjà. Une pointe d’angoisse commença à nous étreindre, puis à augmenter au fil des minutes. Nos camarades étaient encore relativement débutants. Heureusement ils finirent par sortir, le sourire jusqu’au dessus des oreilles, se disputant pour le plaisir de nous raconter leur rencontre avec un énorme mérou patate, gris avec de large disque noir sur le côté. Celui-ci, d’un poids comparable à celui d’un homme, les avait escortés tout le long de leur promenade sous marine.
J’étais maintenant impatient d’aller le saluer à mon tour, ce monsieur mérou. Equipé en un tour de main, j’étais prêt bien avant Zé. Lui prenait son temps pour vérifier la présence de sa banane autour de sa taille, ses petites poches de plastique pour les spécimens de coquillage qu’il ne manquerait pas de trouver et une balayette pour être sûr de n’en perdre aucun. Enfin nous traversâmes le miroir de la surface pour pénétrer le monde de Neptune. Le récif était magnifique, plein de vie, et effectivement un mérou plus gros que moi nous attendait et nous observait avec une curiosité partagée. Zé, blasé de ce genre de spectacle, était déjà en train de prospecter soigneusement chaque pierre, anfractuosité, éponge ou gorgone à la recherche d’une nouvelle espèce de porcelaine, de cône, de murex, de mitre, de casque, de bivalve …que sais-je encore. Je m’absorbais pour ma part dans la recherche de nudibranches, sorte de limace de mer avec un panache de branchies, présentant les couleurs les plus chatoyantes et singulières.
Soudain une ombre nous cacha la lumière du soleil. Au même instant, Zé me tapa sur l’épaule en me faisant signe de regarder vers la surface. Et là, je vis en contre jour un animal monstrueux, barrant le chemin de la surface. Une poussée d’adrénaline m’envahit, mais je parvins à me contrôler en observant Zé qui souriait au travers de son masque. Il faisait déjà le mouvement de remonter en direction de ce géant marin, je suivis.
Rapidement, je réalisais qu’il s’agissait d’un requin du fait de sa forme et de ses nageoires. Cannelé, allant d’un gris sombre tacheté de gros point blanc sur le dessus vers un blanc immaculé sur le dessous, il faisait plusieurs peut être cinq fois notre taille. Nos camarades en surface l’avais vu et s’étaient approchés avec le zodiac. L’animal restait impassible. Vu de dessous, il paraissait bien plus grand que le Pescador qui faisait quand même 6 mètre cinquante. A la suite de Zé, je touchais timidement sa peau rugueuse. Puis prenant confiance, je nageais lentement vers sa tête jusqu’à son œil, si petit pour une bête de cette taille.
Au niveau de sa gueule grande ouverte mais sans dent, une multitude de petits poissons jaunes rayés de noir menaient la sarabande. L’un d’entre eux vint se coller juste au niveau de la vitre de mon masque pour ne plus la quitter. Zé m’expliqua en surface qu’il s’agissait de carangues juvéniles qui profitaient à la fois des restes et de la protection du bon géant. Plusieurs poissons rémora à tête de ventouse semblaient aussi apprécier ce refuge vivant. Lluis et Esteban nous rejoignaient à tout de rôle, avec masque et tuba, pour profiter de ce spectacle.
A bout de plusieurs minutes, notre grand ami finit j’imagine par se lasser ou s’irriter de notre présence. Il s’éloigna en quelques lents coups magistraux de sa nageoire caudale. Malgré le battement frénétique de nos palmes, une fois le poids de son inertie vaincu, il nous laissa sur place sans effort apparent pour disparaître dans le bleu. Ah, quel cadeau ! Voir le Père Noël voler sur son char tiré par des rennes ne nous aurait guère plus surpris, et certainement pas rendus plus heureux.
***
Revenus sur le Pescador, nous étions extatiques. Zé nous apprit qu’il s’agissait d’un requin baleine. Lluis, Esteban, comme moi n’avions bien entendu aucune idée qu’une telle créature pouvait exister. Totalement inoffensif, il nous expliqua qu’il semblait parfois attiré par les bulles des plongeurs, voir les remous créés par l’hélice du bateau. Chacun mimait sa rencontre à sa manière à la recherche de l’adjectif qui pourrait le mieux exprimer l’émotion de cette rencontre.
Comme toujours quand il s’agissait de mer, Zé laissa à chacun le temps de s’exprimer, pour finir par nous conter son histoire, sa première rencontre avec le requin baleine. Et encore une fois, il nous fallut bien admettre que c’était la meilleure.
Elle datait du temps où encore adolescent, il commençait à explorer son Océan avec son premier bateau, un minuscule zodiac à fon plat avec un moteur de 25 CV. En pêchant au large de l’île d’Inhaca à la saison où la mer se colore parfois de longues bandes de plancton orangées et odorantes, la nourriture favorite des requins baleines, il avait croisé en surface un de ces bons géants. Emportés par son enthousiasme et son goût pour l’exploit, il avait terminé chevauchant debout la créature qui l’avait toléré quelques secondes avant de replonger dans les abysses.
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- Écrit par : Martine Malegue
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Depuis octobre 2020, dans le cadre du déploiement SOS épaves en Méditerranée.
Le programme de recherche national « Save Our Shipwrecks » (sauvons nos épaves) a choisi le territoire du Parc national des Calanques pour déployer le projet et ses phases de test.
Dans les Calanques, l’expérimentation a débuté par l’installation d’une série de plaques de métal et d’anodes sur l’épave du Liban, naufragé en 1903. Le dispositif des plaques et des anodes permettra de tester sur 3 ans la protection de l’épave contre la corrosion grâce à la création d’un champ électrique. Des prélèvements d’eau ont également été réalisés afin d’établir si la pose d’anodes est susceptible de modifier la composition et les paramètres physicochimiques du milieu marin.
Amis plongeurs, participez au programme !
Le dispositif de suivi de la corrosion restera en place jusqu’en mars 2023. Tous les 6 mois des plongeurs scientifiques viendront retirer une partie du dispositif et procéder à des analyses. Les plongeurs peuvent également aider au bon déroulement de l’étude : comment faire ?
- ne pas toucher le dispositif.
- participer au suivi en faisant remonter les photos des plaques à l’adresse :
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Nous vous remercions par avance de votre implication dans la sauvegarde de ce patrimoine sous-marin et nous souhaitons la bienvenue dans ce réseau à vocation nationale !
Jeudi 28 octobre, avec nos 12 plongeurs de Bayeux, on plongeait sur le Liban.
Voici quelques photos de l'épave avec le système anodes. Les grosses plaques blanches sont reliées à l'épave par un gros câble.
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- Écrit par : Martine Malegue
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