Le coin des Morses
Week-end du 11 novembre, dernier week-end prolongé de l’année et dernier week-end d’ouverture des clubs de plongée à l’Estartit. L’occasion était trop belle. La décision est prise d’en profiter. Quelques Morses profitent également de l’occasion pour se joindre à nous. L’avantage de la fin de la saison est que la fréquentation étant moindre, toutes les plongées se font sur les îles Medes, au cœur du parc national. | |
Il est vrai que le petit village de l’Estartit est un peu désert, beaucoup de boutiques ayant déjà baissé leur rideau pour l’hiver, contrastant ainsi avec la foule qu’on peut y voir en pleine saison. Les prévisions météo sont changeantes tout au long de la semaine, mais finalement le samedi et le dimanche nous réserverons une belle journée permettant ainsi de profiter au mieux de nos plongées. L’eau est un peu chargée, mais la faune est au rendez-vous: gros mérous tout aussi curieux, et familiers qu’à Port-Cros démontrant ainsi l’effet réserve. | |
Espérons que d’ici quelques années, le parc des calanques nous offrira le même spectacle. Les bancs de corbs permettent aussi de profiter de ce spectacle qui a malheureusement disparu à Marseille depuis longtemps, espérons là aussi un effet positif du parc dans quelques années. | |
Les chapons ne sont pas en reste aussi avec des tailles inimaginables. Les sars tambours se laissent approcher sans se méfier des plongeurs. Le lundi, malheureusement, la tempête ayant soufflé le dimanche à Marseille arrivait en Espagne avec des vents de force 10, nous obligeant à annuler notre dernière journée de plongée. Tous garderont un excellent souvenir de ce petit séjour ne demandant qu’à remettre ça. |
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- Écrit par : Jean-Pierre Parcy
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Le 26 octobre, c’est le jour J, une journée ensoleillée, température ambiante 25° C, température de l’eau entre 19 et 20°C, pas un pet de vent: bref une journée d’été. 7h45, les concurrents font déjà la queue devant le bureau technique: vérification des papiers, distribution du numéro de l’équipe et des tee-shirts « Challenge ». Dès la Sortie du bureau et avant de boire un petit café, photographie de l’équipe avec son numéro d’identification. L’organisation ronronne, elle est réglée comme du papier à musique. 8h45, Les concurrents gréent et s’habillent autour de leur voiture, chargement du matos sur les bateaux ; _ Un pour les catégories Macro et compact. _ Un autre pour la catégorie ambiance. Puis, c’est la photo de groupe, le briefing et le départ. Le palpitant commence à monter même si l’ambiance est détendue. |
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Les bateaux démarrent et rejoignent le site attribué à chaque catégorie : _ L’Arche de Plane pour la macro et les compacts. _ Les Moyades pour l’ambiance, qui au dernier moment sera la calanque des contrebandiers. A bord de chaque bateau le DP donne les dernières instructions. Tout le monde se met à l’eau, et ne s’immerge qu’au son de la corne de brume; temps de plongée 2 heures avec maxi 15 minutes de palier et 20 bars à la remontée. Si le règlement n’est pas appliqué, les pénalités tomberont: à chaque manquement une photo sera éliminée au hasard de la carte du compétiteur. Sur le site, les compétiteurs s’équipent tranquillement et se mettent à l’eau, chacun dans son coin près à s’immerger au son de la corne brune, Enfin presque tous, car Laurent en mettant son masque, sa sangle casse. Un bout de ficelle fait l’affaire, mais il fera toute la plongée avec un œil dans l’eau, ce qui ne l’empêchera pas de gagner le prix Bio et de finir 4ème dans la catégorie Macro. Pour ma part avec mon petit modèle Nathalie nous suivons de très près Guitou et Véro, le but étant de faire l’arche de plane en premier pour la photo d’ambiance. |
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Braoum! La corne de brume vient de retentir, immersion, direction l’arche de plane. Je réalise qu’elle est à 25 m et mon binôme Niveau 2 ne peut pas descendre à cette profondeur. Flute alors! Guitou est déjà en place et Véro son modèle trône élégamment au milieu de l’arche. Je profite de la scène et shoote mon ambiance avec présence humaine. Après tout Véro c’est ma copine et Guitou mon binôme photographe. Ils ne m’en voudront pas. Maintenant il faut avoir l’œil et trouver les sujets, mon angoisse « prendre en macro un poisson ». C’est que ces petites bêtes, ça bouge. Je vais m’acharner sur une girelle qui prend ça pour un jeu et me présente systématiquement son derrière dès que j’appuie sur le déclencheur. Je vais réitérer la scène avec un triptégyrion sauteur. L’heure tourne, le mano descend et toujours pas de macro poisson. Dur, dur! Fin de plongée, retour au bateau où on retrouve nos copains, une boisson chaude nous est offerte avec un petit encas. Malgré la température de l’eau au bout d’1h30 d’immersion, on a un peu froid. |
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A peine arrivés sur le quai, on essuie vite le boitier pour ensuite en extraire la carte que l’on doit remettre à notre commissaire de bateau. Les dés sont pratiquement jetés. Il va y avoir encore un moment assez étrange et stressant ; le choix des images. On est tous dans une salle sombre devant nos ordis à découvrir nos images sur l’écran. Pour ma part le choix est assez restreint, il se fait surtout par élimination. Heureusement Marc toujours présent va nous guider ; « Celle-là tourne-la à gauche, celle-la à droite, celle-là tu la mets en premier, celle-là en dernier. » Ensuite il faut faire un croquis de nos photos. Nathalie n’en peut plus cela lui provoque un mal de tête. Bon maintenant, il faut se faire beau et belle car la fête commence ! Rendez vous tous au parc Chanot, apéro, discussion, retrouvailles, …, bref un bon moment. |
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C’est l’heure fatidique, installés dans nos fauteuils rouge sang, on attend. La soirée présentée par notre charmante Brigitte, démarre par un hommage à notre ami Hervé disparu dans l’année ; la projection d’un film très émouvant avec toutes les belles photos de notre grand photographe, accompagné de ses musiques préférées. Enfin ! Le diaporama de présentation des images des concurrents. On découvre les images des autres et c’est un émerveillement. Même mes photos vont paraître acceptables sur cet immense écran. Je vais tout de suite être subjuguée par la série de Guitou, vraiment, il a assuré le bougre ! Ma Flo, nous a, elle aussi, fait de très belles macros. Jérôme du vieux plongeur nous surprend par la qualité exceptionnelle de ses photos. Quant à Kamel , sa série d’ ambiances nous laisse pantois. Il y aura le crabe de Laurent, les ambiances de Fred. Bref de belles images qui représentent la beauté sous marine méditerranéenne !Le lendemain, un moment crucial, c’est la remise des prix. Nous nous installons dans la salle de projection après nous être rempli le ventre par un bon buffet: Tatantan, tatatan ! La projection suit cet ordre ; début de la catégorie compact, puis de la macro, suivie par celle des ambiances, et en commençant par le dernier. Tatatan, tatatan, sans surprise je vois apparaitre sur l’écran nos deux bouilles « Nathalie et moi ». Le décompte se poursuit, l’équipe 3ème s’affiche et ce n’est toujours pas Guitou ? Le 2ème s’affiche et ce n’est toujours pas notre Guitou. A ce moment là, tout le groupe de la commission audiovisuelle et Morse, se lève et l’acclame. Mon Guitou est tout rouge et il a du mal à respirer. Notre Guitou est 1er du Challenge dans la catégorie compact. Premier au challenge avec en surcroit le prix « coup de cœur » du jury, sur l’ambiance ! Wouah ! On s’y attendait, après le visionnage de ses photos au Parc Chanot. Bravo, l’équipe ! Ce fut le même délire pour Flo (2ème en catégorie macro, avec prix de la macro), Kamel (1er en ambiance), Frédérique ( 3ème en compact )et Laurent, tous mes amis de la commission. Ce fut une super expérience, à retenter l’an prochain. Pour ceux qui voudraient voir les photos de nos lauréats, allez surfer sur le site à l’adresse suivante. http://www.challenge-de-marseille.com/ Callelongue cette année était représentatif puisque nous étions 3 membres du club à participer au challenge ; Gille Racot, mon Guitou et moi-même. Merci à toute l’équipe organisatrice bénévole. |
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- Écrit par : Martine Malegue
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J'imagine que vous avez votre dose de pointus et de sardines, aussi je me suis dit qu'il était temps de vous distraire avec une histoire de boutres et de dauphins. C'est vendredi, le week-end approche. Chance, le club de plongée de Nairobi a organisé une sortie à Shimoni, porte d'accès au parc marin de Wasini Island. Il parait que c'est un des meilleurs endroits de plongée au Kenya, donc je m'inscris ! Tout commence par un petit coucou qui d'un coup d'aile nous emmène sur la côte. Sympathique : il faut partir de Wilson airport et non pas du grand aéroport international. Il est tout proche de mon bureau et il n'y a pas tout cet arsenal sécuritaire qui nous oblige pratiquement à nous mettre en sous vêtement pour monter dans l'avion. Oui, c'est déjà des vacances ! |
La vie trépidante des tropiques |
Monfreid n’avait pas mieux |
En moins de quatre heures porte à porte pas trop désagréable, nous voilà installer dans notre bungalow de bord de mer. C'est déjà le début de la saison des pluies et le jardin est d'une luxuriance difficile à imaginer, es bougainvilliers croulent sous les fleurs, bignone, flamboyant ... on commande les crevettes au piri piri servies sur la terrasse qui surplombe la mangrove. Quelques pirogues à voile latine et balancier reviennent de la pêche, les lumières d'un soleil qui se couche toujours trop vite à l'équateur. Mais nous nous consolons vite avec plus de crevettes et plus de bières. |
Le lendemain, plongée avec Pilipipa. Nous voilà vite équipés et embarqués sur un boutre de douze mètre. C'est une belle embarcation en bois avec un taud qui donne une belle ombre, elle ne va pas très vite mais qui nous laisse le temps de prendre café et biscuit et de faire une petite sieste en admirant le paysage encore très préservé de l'île de Wasini. Nous voilà sur un premier petit site de test, beaucoup de coraux mous sur des îlets de rochers entouré de sable. Quel plaisir de retrouver les poissons tropicaux, poissons scorpions, murène nid d'abeille, murène à ruban, diodon ... Et voilà un requin guitare allongé sur le fonds de sable, Comme toujours, je suis le premier dessus, clic, clac, quelques photos vite fait. Je suis caché au dessus et derrière lui et il ne m'a pas vu. Mais le reste de la troupe arrive et en deux trois coups de queue vigoureux, le voilà parti dans un nuage de sable. Excellent début. La seconde plongée est sur un tombant qui va de 20 à 45 mètres. C’est vrai, ce n'est pas l'impérial du large, mais j'aperçois une raie aigle, des poissons perroquets de grande taille. On y voit parfois des requins, mais pas cette fois en tout cas. C'est un peu profond pour une longue immersion, mais c'était très beau. |
Non, ce n’est pas une baudroie ! |
A table, le plus gros est pour moi ! |
La navigation du retour nous ramène juste à temps pour un déjeuner tardif de calamars et poissons au riz coco et la sieste indispensable des vacances. Elle nous requinque et nous décidons de tneter notre chance lors d'une plongée de nuit en face du club. Entrée dans l'eau au coucher du soleil, fonds de sable avec des trous remplis de coraux. On aperçoit des oursins rouges luminescent dans la lumière des torches, une espèce de rascasse volante naine pas plus de cinq centimètres, un calamar gros comme mon pouce qui lâche un jet d'encre de la taille d'un ongle, des crevettes mantis et nous arrivons sur un petit mur couvert de coraux rouges vifs et plein de trous remplis de diverses sortes de crevettes. Un bernard l'hermite sans sa coquille, un grondin volant ... Et des crabes en pagaille pour terminer la journée, mais cette fois dans l'assiette : c'est comme cela que je les préfère, juste ébouillanté avec un aïoli ... |
Le lendemain, c'est déjà dimanche et il me faut reprendre l'avion le soir, donc pas de plongée. Je regarde les camarades se préparaient avec une certaine jalousie. Pour moi ce sera apnée uniquement. Cette fois nous sommes dans le parc marin, les poissons sont plus gros et moins farouches, beaucoup de mérou de différentes espèces, y compris des marbrés de belle taille. Une tortue que j'essaye d'attraper mais que j'arrive juste à toucher du doigt. Et voilà que le capitaine du boutre me signale dans de grands mouvements de bras des dauphins à tribord. Je mets le turbo et fait le tour du bateau et me voilà au beau milieu d'une groupe d'une dizaine de dauphins. Ils n'ont vraiment pas peur de nous et s'amusent entre eux comme des fous. Je les vois à cinq mètres de fonds faire des cabrioles, se mettre sur le dos … De temps en temps l'un d'entre eux remonte droit à la surface et te regardant droit dans les yeux pour reprendre une goulée d'air. Je mentirai en disant que je n'ai pas eu un pue peur, mais visiblement cela fait partie du jeu. |
www.pillipipa.com |
Un coup d'aile, mais seulement après une platée de pâte aux fruits de mer pour me consoler de repartir si tôt, et me revoilà chez moi. C'était vraiment super, à refaire : avis aux amateurs de plongée et fruits de mer ! |
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- Écrit par : Rémi Fritsch
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La différence entre voir un éléphant sur le petit écran et le voir pour de vrai depuis son 4x4 est immense. Il est possible alors de prendre conscience de l’énormité de la bête. Mais la différence entre voir l’animal blotti dans son 4x4 le pied sur l’accélérateur prêt à fuir à plein gaz et l’observer à pied est la même. On prend alors conscience du fait que l’on fait partie de son environnement et de sa propre fragilité. Dès qu’il bouge une oreille, un frisson vous parcourt de haut en bas. Alors imaginez si vous en croisez en randonnée dans une forêt de palmiers doum non pas un mais une bonne vingtaine, que vous en voyez quelques-uns tout au plus, mais que vous entendez ou devinez les autres ? De quoi sursauter à chaque craquement de branche, même si des rangers armés sont là pour vous protéger. Il est d’ailleurs difficile de faire un choix entre satisfaire sa curiosité ou s’éloigner le plus vite possible ...C’est là tout le piment d’une marche dans un parc national où sont présents tous les Big five comme Tsavo. Voilà pourquoi j’ai proposé cette excursion aux camarades du Moutain Club of Kenya! |
Rivière Tsavo et palmiers doum |
En collant l’appareil à la jumelle |
Alors je prends l’initiative de contacter le Directeur du parc, qui me propose trois rangers et nous réserve les special campsite : Man eaters (c’est là que les lions mangeurs d’hommes ont bouloté les ouvriers qui construisaient la voie de chemin de fer début 1900) puis Maji ya Chumvi (si on a survécu à la première nuit …) et enfin Kichwa Tembo (tête d’éléphant en Swahili, du nom de la montagne près du camp). L’idée est un mix de car camping et de randonnée. C’est facile de camper si on peut arriver avec une voiture. On met tout le fourbi dans le coffre et on dispose ainis d’un certain luxe : chaises, frigos, table, grande tente …) alors que le camping sac à dos est plus sportif. Le problème est que chaque matin il faut tirer à la courte paille celui qui conduira la voiture au camp suivant. Les autres lui raconteront la journée autour du feu ! |
Le premier jour sera celui des hippopotames et des crocodiles. On en aperçoit d’abord un sur l’autre rive (ouf !). Ce n’est pas toujours facile de les voir hors de l’eau, donc cela commence plutôt bien. Et puis dans un méandre, le ranger de tête signale à nouveau des traces d’hippos et proposent de les suivre. Pourquoi pas ! J’accélère le pas et fait attention de ne pas marcher sur une brindille, quand soudain, le voilà à moins de 20 mètres devant dans l’ombre d’un buisson. Je sors les jumelles, mon Dieu qu’il a l’air mauvais ! Quelques photos, quand le ranger chuchote de manière pressante : « Go back ! ». |
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Tout le monde se carapate un peu par mimétisme et sans demander son reste dans la brousse. Une fois tout le monde retrouvé, le ranger nous donne l’explication : pendant que nous observions notre hippo, il a remarqué qu’il y en avait un à moins de 5 mètres de nous que personne n’avait remarqué … Si ce n’est pas le vent du boulet, c’est pour le moins l’haleine du pachyderme. Les premières traces d’éléphant que nous voyons prennent la forme d’ossements. Un peu triste car visiblement il s’agit de braconnage. On n’en verra pas plus aujourd’hui et compte tenu de la chaleur nous voilà bien contant d’arriver au camp pour le déjeuner. Personne ne résiste à l’attrait d’un bon bain dans la rivière. Je ne suis guère rassuré. Hippos, crocos, les rangers nous disent que si leur patron nous surprenait en train de barboter dans l’eau rouge de sédiment, ils seraient virés. Pourtant, ils se baignent aussi.. |
Idéfix dream come true |
Le lendemain, on quitte la rivière et on traverse à travers la brousse. C’est très sec et peu d’animaux à craindre. Mais il fait chaud et on se fait griffer et déchirer les vêtements par les buissons. Nous croisons un Mamba de plus de deux mètres dans un arbre. Quel camouflage : même quand on sait où il est, il est difficile de le retrouver si on le quitte des yeux. Deuxième nuit, cette fois les éléphants sont là. On les entend toute la nuit, casser des branches pour se nourrir et communiquer entre eux par des grondements sourds caractéristiques. Ils donnent l’impression d’être à quelques mètres des tentes. Tout le monde s’enfonce dans son sac de couchage… je ne sais pas si c’est efficace. Il parait que tant que l’on reste dans la tente, on ne craint rien des animaux, qui voit cela comme quelques choses de solides. Enfin, on a beau dire, c’est quand même léger une toile de tente ... |
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Troisième jour de marche, il sera marqué par notre rencontre avec la troupe d’éléphants. Visiblement des femelles avec leurs petits qui se déplacent le long de la rivière en sens inverse de nous à la recherche de nourriture. On voit un œil, une défense, un dos, un petit entre deux arbres, mais surtout leur présence dans la forêt fait monter l’adrénaline. Troisième nuit, c’est moi qui cuisine pour le groupe. Je fais un trou que je rempli de pierres brulantes, couvre d’une fine couche de sable, posent les gigots de chèvre en papillote, une nouvelle fine couche de sable et un grand feu dessus. Avec des patates sous la cendre et de l’huile d’olive, c’est succulent. Au dessert, bananes flambées à ma façon, c’est certain, j’ai remporté le concours du meilleur repas et défendu honorablement les couleurs. Et puis voilà venu le moment du retour sur Nairobi. Ce n’est pas une partie de plaisir car les distances sont longues et conduire entre les poids lourds de l’autoroute Mombasa Nairobi est sans aucun doute plus dangereux que se balader à pied dans les parcs nationaux. Une dernière joie avant de quitter le parc, nous croisons une meute de Lycaons. Il parait que c’est un coup de chance car ils sont très rares. Voilà, j’espère que l’histoire vous aura plu même si nous sommes loin du buisson de thym et de la gallinette cendrée. |
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- Écrit par : Rémi Fritsch
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Après bientôt 8 ans de bons et loyaux services, le moteur du Suscle II a été remplacé. Le nouveau, un Yamaha toujours de 225 CV, mais plus moderne (compteurs digitaux, cablage remplacé par des connexions sans fil) et avec un couple plus important et une consommation moindre a redonné une nouvelle jeunesse à notre vaillant transporteur. Nous en avons également profité pour refaire les cablages électriques et repartir ainsi pour de nouvelles aventures. |
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- Écrit par : Jean-Pierre Parcy
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