Le coin des Morses
C’est Noël, c’est les vacances et c’est aussi la meilleure période pour profiter de la mer à Maputo. L’eau est chaude, a priori la visibilité devrait être excellente après trois jours de vent du Sud, qui nous ont cloués à terre. Nous avons rempli les bouteilles de plongées, préparé les cannes et leurres diverses, fait le plein d’essence, préparé la glacière et les sandwichs. Nous avons réparé la panne qui nous a tourmentés pendant trois jours (une anode cassée qui bouchait le circuit de refroidissement. Dès l’aube, je suis impatient de partir plein gaz vers le large.
Zé et Nocaz, son épouse, ne tardent pas. Il n’y a pas grand monde au club maritimo à cette heure. On met le bateau à l’eau, le temps de garer la voiture et la remorque et c’est parti pour le grand large. Aujourd’hui, c’est le grand tour par la zone des marlins, retour pour plonger sur la Baixo Danae, près du cap Sainte Marie à la pointe de l’île d’Inhaca et retour pour 17h00, heure limite pour rentrer sous peine d’amende.
Pour sortir de la baie, il faut passer le blanc de sable de Jeremias: l’eau est limpide et sur le sable d’une couleur magnifique. On aperçoit un groupe de dauphins aussi nous modifions légèrement le cap. Ils abandonnent leur pêche pour nous escorter vers le large, la zone des 200 mètres propice pour la pêche au marlin. Branle bas de combat, toutes les cannes sont dehors, nous voilà en train de croiser à 7 nœuds. C’est l’heure de piquer un roupillon, car il a fallu se lever tôt!
Ah que c’est bon de profiter du soleil et somnoler bercé par les vagues de l’océan indien. Je m’endors comme un bienheureux, mais c’est pour être réveiller en sursaut par la crécelle d’un moulinet: ça mord! Une dorade coryphène de belle taille jaillit hors de l’eau, après une courte bataille, la voilà à bord. C’est toujours un peu triste de voir ce poisson d’une couleur si magnifique, entre le jaune et le vert pomme, se mourir et perdre ses couleurs.
Dorade coryphène, magnifique
Nous aurons également une touche sur un marlin énorme bien entendu mais qui finira par nous échapper non sans avoir mis le branle bas dans le bateau et deux autres dorades tout aussi magnifiques. Les heures passent et quand le temps commence à devenir un peu long et le soleil trop accablant, nous nous rappelons que c’est le moment de plonger.
Direction le fameux site de l’arche (o arco): un arc de vingt mètres sous lequel pourrait s’engouffrer un bus anglais à deux étages. Cela fait deux ans que je n’ai pas plongé sur ce site que nous avons découvert avec Zé il y a près de vingt ans. A peine la tête sous l’eau, je réalise que les conditions de visibilité sont exceptionnelles pour le Mozambique, environ 40 mètres. Cela n’arrive jamais et c’est bien la première fois que l’on peut prendre des photos avec l’arche en entier.
L’arche, si grande qu’il est rare de la voir en entier
Nous avions un peu l’espoir de voir la douzaine de loches géantes que nous avions vu l’année dernière au même endroit et aux mêmes dates. Mais pas de chance. Enfin l’eau est si transparente que nous décidons de nous laisser emporter par le courant pour découvrir les fonds. Une dizaine de minutes plus tard, nous repérons le site du puit (o poço), toujours pas de loches, mais quelques mérous patates de belle taille (50 à 60 kg), une murène léopard, un mérou à queue bleue sans doute le plus gros que j’ai jamais vu de cette espèce. Et il est déjà temps de remonter …
Après un intervalle de surface d’une heure, deuxième chance de voir du gros cette fois sur le site de la caverne aux requins, où j’avais vu six requins « grey reef sharks » ou « Carcharhinus amblyrhynchos », requins gris de récif ou requins dagsit en français à noël 2013. Nous n’avons pas vraiment le point exact mais la visi est tellement bonne que l’on tente le coup.
Nuage de carangues
Je nage à grand coup de palme vers le fonds en dévidant le fil du moulinet de la bouée à toute vitesse. La falaise est à portée de main mais il faut batailler contre le courant. Ouf, j’agrippe un rocher et reprend mon souffle. On est juste en dehors de l’arène qui contient la caverne. Au dessus moi, un nuage de carangues. Elles sont plusieurs milliers. Quelques unes s’isolent par paire, l’une devient presque noire alors que l’autre reste d’argent. C’est le temps des amours.
Martine ou Guy aurait fait mieux!
Je rampe sur la falaise en m’agrippant à l’abri du courant et jette un œil vers le bas: un requin gris tourne dans l’arène et sur le sable, un requin léopard semble endormi! Quelle chance, une descente en douceur vers le sable et m’aplatis juste derrière lui en retenant ma respiration. Quelques minutes de bonheur avant qu’il ne réalise ma présence et se sauve d’une nage nonchalante. Que demandez de plus à une plongée!
Défilé de requins, dagsit puis léopard, je ne veux voir qu’une ligne!
Le soleil commence à tomber, c’est le grand surf avec le zodiac sur les vagues le long du cap de Sainte Marie et puis en longeant les plages toujours redessinées par les vagues de l’île des portugais. Le soleil en plein dans le nez dessine la silhouette des immeubles de la ville de Maputo: le grand surf se poursuit jusqu’au Maritimo où nous arrivons juste à temps. C'est-à-dire avec un quart d’heure de retard comme il se doit pour pouvoir profiter jusqu’au bout de la journée, mais pas encore assez pour avoir droit à l’amende du club maritimo!
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- Écrit par : Rémi Fritsch
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Au menu: Plongée calanque sur l’ancre "Trotman", l’ancre du bout du monde ou dite "l’ancre à Jean-Claude".
Par une mer calme, une eau claire et une température de 13°, Geneviève (sa première plongée de l’année), Jean-Claude, suivi de Jean Michel et Bruno, direction l’ancre.
Après 54 minutes de plongée et une profondeur de 20 mètres, nous voici de retour à notre base pour prendre une bonne douche bien chaude.
Plongée sur "Les Moyades" ilot à la pointe ouest de "Riou". Aux commande du "SuscleII": Philippe, à bord Laurence, Martine, Jean-Pierre, Patrick, Denis, Pierre et sa fille:Elsa Qui a finalisé son niveau 1 avec Philippe.
Pendant ce temps, Mohamed, Anne et Myriam restés au club nettoyaient la restanque pour la préparer à des plants de tomates au printemps qui nous permettront d'agrémenter nos salades estivales.
Midi, l’heure de l’apéro, pour cela Jean-Pierre avait amené du champagne, pour fêter ses 59 printemps qu’il venait d’avoir le 19 du mois. (Petite histoire: il était parti à Rome, la ville éternelle avec sa compagne Myriam, pour y rencontrer François mais ils sont arrivés le jeudi 21 et le pape ne reçoit que le mercredi).
Suite au repas pris ensemble sur la terrasse du club, avec un soleil radieux, une journée de printemps. Quelques jours avant la chandeleur Jean-Michel, notre chef cuistot nous avait préparé des crêpes succulentes.
Voilà un samedi, qui lui aussi rentrera dans les annales des morses du bout du monde.
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- Écrit par : Jean-Claude Eugene
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Ce quatrième week-end de janvier, à Callelongue, la section plongée de MSLC partenaire du comité régional Provence Alpes, accueillait un Stage photos sous-marine organisé par le "codep 04" (comité départemental)
Le samedi matin était réservé à la prise en main du, matériel photo, par les stagiaires, sous les conseils et explications des instructeurs photos, du comité régional: Florence, Bernard et François, sur les différents réglages: focale, vitesse, sensibilité, flash, etc.
Embarqués sur le "Suscle II" les voilà partie pour une plongée photo macro.
Direction la calanque du" Pouard" (port naturel de l'île plane).
De retour après avoir rincé leur matériel, pris une bonne douche chaude, un apéritif convivial et un repas sur la terrasse du club, le reste de la journée a été consacré au débriefing des photos macros prises le matin, dans la calanque du "Pouard"
Le dimanche matin départ sur Riou, pour une plongée photo ambiance à "l’impérial de terre", le dit-on du jour "Masque sur le front égale masque au fond".
L’après midi analyse des photos ambiances et commentaires.
Le groupe de stagiaires est reparti dans le département 04 avec plein d’images dans l'appareil et de souvenirs dans la tête.
Jean-Claude EUGENE
Ce dimanche 23 janvier, poursuite du stage photo du CODEP 04. Après avoir réglé appareils et flashs, l'équipe monte sur le bateau. Un temps magnifique, le soleil est de la partie, l'eau est claire et ressemble à un lac, pas de vent, un seul bémol la température de l'eau à 14° (On n'y est plus habitué). Arrivés sur le site de l'impérial de terre, impossible de mouiller le bateau, l'ancre ripe, il y a du courant, François se dévoue, il reste sur le bateau et assure la sécurité de tous les plongeurs. Un grand merci, à François qui nous a permis de faire cette belle plongée.
Martine MALEGUE.
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- Écrit par : Jean-Claude Eugène et Martine Malègue
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Plongée dans la marche.
Ce samedi le mistral régnant en maitre, nous voici parti pour une excursion dans le massif de Marseilleveyre, découvrir les grottes de l'Ermite, de l'Ours sans oublier ST Michel d'eau douce.
Nous avons donc pris les Escaliers des Géants pour y accéder.
Martine, Didier, Frédéric, Henry, Pierre ne connaissaient pas les grottes et encore moins le GR vert d'où un petit ou plutôt un grand détour du coté du "pas de la demi lune" pour rejoindre dans les éboulis le bon chemin, non sans peine!...
Mais quelle fut leur joie de cette découverte, malgré que l'accès par la "chatière" à la grande salle de ST Michel, ait été bouché par des blocs de pierre, pour y interdire l'entrée.
Jean-Claude
Mistral gagnant!
Un mistral de folie, la plongée annulée, la journée s’annonçait mauvaise, d'autant que dans ces cas là, c'est ménage au club.
Jean-Claude nous propose une balade aux grottes juste au dessous du Pas de la lune, ses magnifiques falaises qui se dressent au bout de notre Calanque et que nous admirons de notre club.
Nous voilà parti, bien emmitouflés.
A peine sortis de la calanque, une vue époustouflante, qui nous fait réaliser la chance que nous avons d'habit...
Martine
Prélude.
Nous sommes installés depuis fort longtemps dans le massif de Marseilleveyre (en provençal, cela signifie voir Marseille) et plus précisément au pied d'un grand "panneau" de calcaire blanc qui est le rocher des Goudes avec, en arrière plan, le rocher de Saint-Michel qui comporte en bas à gauche l'entrée - bien visible depuis le club - de la grotte de l'Ermite.
En effet, le rocher de Saint-Michel est percé de quatre principales grottes:
- la grotte de l'Ermite,
- la grotte Saint-Michel d'eau douce,
- la grotte de l'Ours, sa voisine proche,
- la grotte du Déserteur, sur l'autre versant du rocher.
En ce samedi matin 16 janvier 2016, après avoir admiré la mer agitée par un mistral bien établi et apprécié le lever du soleil et sa lumière rasante qui réveille le paysage, l'île Maïre donnant l'impression de se parer d'or, nous décidâmes de proposer à Jean-Claude Eugène une découverte pédestre au cœur du massif de Marseilleveyre de la grotte de Saint-Michel d'eau douce.
Il faut rappeler que des chapelles dédiées à Saint Michel ont souvent été bâties sur des lieux élevés pour rappeler que Saint Michel archange est le chef des anges. Ici, la position en hauteur de la grotte pourrait être une explication à cette invocation.
Notre périple nous conduit au bord des escarpements Nord-Ouest du Rocher de Saint-Michel. La vue aérienne sur les Goudes et l'Île Maïre est superbe. La fine enfilade rocheuse des Lames et du Rocher des Goudes ne tarde pas à s'imposer pour dessiner un paysage somptueux.
Dès l'arrivée au porche de la grotte de Saint-Michel d'Eau douce un beau pilier stalagmitique s'offre à nos regards émerveillés; celui-ci est fossile, sa formation a cessé comme le montrent les mousses vertes. À l'entrée de la grotte, des barreaux métalliques scellés dans le rocher protègent le visiteur de la chute dans un puits profond. Puis c'est une vaste galerie qui s'offre à nous scindée en plusieurs salles par des éboulements ou de vastes coulées de concrétions calcaires. Un passage (désormais obstrué par des gros cailloux) permettait d'accéder à des salles basses à 12 m de profondeur.
De vastes édifices de stalagmites et de stalactites montrent que les ruissellements d’eau chargée de calcaire ont été abondants. Cela explique dans les salles basses (non visitées) la présence de gours constituant une réserve d’eau presque toute l’année. C’est cette eau qui justifie certainement l’établissement des ermites à 100 m de là.
Certaines concrétions, comme le pilier de la salle du porche, sont fossiles: c’est-à-dire qu’elles ne sont plus alimentées par l’eau chargée de calcaire. Par contre, dans la salle suivante - appelée salle gothique - les coulées de calcite sont encore en formation.
Reste la grotte de l’Ours, située une trentaine de mètres au N.O., elle est trop étroite pour avoir pu servir d’abri. D’un développement d’une cinquantaine de mètres, il faut noter qu’en son point bas se trouve une petite vasque pleine d’eau.
MSLC signifiant Marseille Sports Loisirs et Culture, la prochaine sortie "non subaquatique" pourrait être la Grotte de l'Ermite ou le Fortin des Goudes ou .......... "
Frédéric
La vérité sur la sortie du 16 janvier 2016 du MSLC.
Pendant longtemps, MSC avait caché son "L". En l’an 586 avant JC, le roi KAL (Callelongue) qui l’a longue, a caché dans un trou profond, dans nos contrées deux tables de loi dites "loi- Zir", les tables des lois-Zir du roi KAL qui l’allonge – sssSSSsssSSSssss – (Prononciation : Prenez une inspiration par la bouche les dents serrées tout en faisant des mouvements d’aller-retour avec la langue).
MSC compte parmi ses membres des soldats, les soldats verts, on les appelle les pères …, le chef, dit le Colonel dont je tairais le nom, est très connu dans nos contrées pour ses pratiques occultes, E3 et son lieutenant Henri dit le jus d’A, A comme amour du vilain. Un troisième larron fait partie de l’équipe des pères …, Pierre, c’est l’arrière-petit-fils du bâtisseur de la grande communauté. Lui, est encore un Vice-soldat N1 et il compte le rester pour toujours, on raconte à qui veut l’entendre que ce poste de vice lui sied bien.
Etrangement, il y a bien longtemps, après une randonnée dans les collines voisines le L est revenu, le L des Lois-Zir – sssSSSsssSSSssss – (Un mantra prononcé pour la pratique des Lois Zir). Cette randonnée se répète depuis tous les 69 ans au 16ème jour de Janvier.
En l’an 2016, voilà que commence la marche sur les pas du roi Kal qui l’a longue vers le trou où se cachent les tables des Lois-Zir. A la tête d’un petit groupe d’hommes, les pères …. – sssSSSsssSSSssss –, ils ont voulu égarer leurs 3 amis, présents ce matin au refuge, en les emmenant vers la face de la demi-lune.
Mais qui sont ces trois amis ?
La première : C’est une jeune femme, Martine Patouteneuve, on dit si bas que si vous enlevez le « T » de Toute et le N de Neuve, Martine devient Marie, oui elle est La descendante.
Le deuxième: L’ancien, on l’appelle Jean-Claude le descendant direct de notre J.C au sentiment profond adepte de la numérologie, son numéro fétiche le 15, J.C est un joueur émérite de triangle poilu, un instrument du moyen âge des maisons Claude.
Le troisième : Desiderius dit Didier le mage, un homme remarquable d’une sensibilité hors du commun, d’une délicatesse surnaturelle, un diamant brut, une hématite. Son aura vous pénètre comme une étoile filante au firmament du bonheur triangulaire.
Revenons à cette randonnée, non ils ne se sont pas laissés dupés, ils ont repris la bonne route vers le trou du le roi KAL qui l’a longue. Mais à l’approche du trou, un phénomène étrange se produisit. Jean-Claude fut pris par une bouffée de chaleur sous son bas ventre, il grandissait, grandissait, sous le poids il ralentit sa marche laissant Marie, Desiderius et les 3 pères … mener la marche. Il préféra reprendre ses esprits sur le chemin. C’est alors que Marie prise d’une fulgurante hystérie -sssSSSsssSSSssss – se mit à courir vers le trou, elle disparut à l’intérieur. Damnation! les 3 pères… – sssSSSsssSSSssss – sans préliminaire de sécurité pénétra aussitôt dans le petit passage étroit.
Martine poussa un cri glaçant suivi d'un râle entendu dans toute la vallée – sssSSSsssSSSssss – . Desiderius et J.C., pétrifiés, attendaient devant le trou, une lueur rouge envahit l’entrée. Quand enfin au bout d’une longue attente, les pères… sortirent du trou – sssSSSsssSSSssss – non verts de trouille eux, mais leurs visages restaient imprégnés d’un rictus machiavélique, les Lois Zir ont-elles été découvertes ou restées secrètes ? Marie – sssSSSsssSSSssss – sortit enfin du trou plus rayonnante que jamais mais… mais… elle… elle qui soignait sa chevelure comme une jument dont la crinière danse avec le vent sans faillir, arborait une coiffe digne du fameux balaie sans son seau. Son visage respirait la lumière, la joie la plénitude, elle paraissait enfin avoir 30ans de moins, effaçant ces rides disgracieuses. Elle vint rassurer J.C. tremblant de tout son corps, « Tu ne dois pas avoir peur J.C. » dit-elle, « j’ai trouvé le trou des Lois Zir ». Gaspard a pris une dernière photo pour immortaliser ce tableau, il versa une larme et sa petite tête se pencha sur le côté, il était encore plus beau. Sur le chemin du retour personne ne parla de ce qu’ils ont découvert dans ce trou. Les pères… surveillent – sssSSSsssSSSssss –.
Didierer cette région ; Un ciel d'un bleu éclatant dégagé par le mistral, l'île Maïre et ses deux rochers les Farillons, au loin le phare de Planier, le tout entouré par une mer pleine vie.
Après s'être trompé de chemin et du coup s'être battu avec les éboulis et la garrigue, nous atteignons les grottes, que je n'avais jamais vu.
Une belle balade, merci Jean-Claude.
Didier
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- Écrit par : Jean-Claude Eugene
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Une première compétition bien sympathique, réalisée par Kamel et Valérie Perez à l'YCPR. Compétition bien organisée et réussie, avec toujours cette ambiance joviale.
Mon binôme Guitou, nous a encore fait encore un carton, avec sa 3 ème place.
Commencerait-il à m'énerver ? Mais non, trop fière de mon Guitou, la force tranquille.....
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- Écrit par : Martine Malegue
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