Le coin des Morses
Marc et moi nous voici embarqués sur le "SUSCLE 2"avec aux commandes "Bernard" notre pilote.
Direction le phare de Planier.
Mer hyper calme, presque un lac, une chaleur étouffante, bref une journée de plein été.
Nous voici arrivés sur les lieux de notre plongée: l’épave du "CHAOUEN", que nous avions fait le samedi précédent. Descente dans une eau assez claire, une température de 25° et pas de courant.
Dés notre immersion, nous apercevons l’épave dans presque toute sa longueur, nous entamons notre entrée dans les cales pour nous diriger directement dans la salle des machines, où les deux moteurs restent silencieux à jamais, nous y faisons pas mal de photos.
Sortie des entrailles, nous voilà sur le mat de charge, après quelques prises de vue, nous allons vers l’arrière pour aboutir au gouvernail et son hélice.
Nous déambulons sur la coursive tribord, pour nous rendre sur l’ancre qui se trouve à 12 mètres de fond.
Nous finissons notre plongée par un palier de 4 minutes en compagnie du reste de l’équipe de Morses qui nous accompagnait sur le "Suscle", ainsi que quelques girelles et sars qui se régalaient des oursins que je leur avais ouverts.
Photos :Marc Morand
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- Écrit par : Jean-Claude Eugene
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En ce premier samedi de Juillet, par une chaleur torride avoisinant les 38°, une température de l’eau de 25°, une eau chargée, bref une journée de plein été.
Les Morses ayant répondu très nombreux pour plonger, les deux bateaux étaient de sortie, pour une plongée sur le "Veyron".
Guy, François, Martine et moi avons décidé de plonger dans la calanque en direction des "pierres de l’apéritif".
Dès notre immersion, dans une eau où la visibilité était très réduite, nous avons eu des difficultés à rester regroupés, d’où j’ai fait ma plongée avec Guy et Martine avec François.
Au bout de 78 minutes de plongée par une profondeur maximum de 18 mètres, nous sommes de retour au club, pour boire la bouteille de champagne, que j’avais apporté pour boire au palier, seule la photo a été prise car nous n’étions que deux pour partager cette bouteille.
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- Écrit par : Jean-Claude Eugene
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Le dimanche, comité restreint, nous ne sommes plus que 6 plongeurs. Je propose à mes compères de faire la plongée que nous n’avons pas pu faire la veille à cause de la sur-fréquentation du site. Mais en chemin, changement d’avis, je propose de faire la pierre à Daniel. Certes, la zone d’évolution de 40 mètres max pour les niveaux 2 ne permet d’explorer que partiellement ce site, mais c’est pour eux l’occasion de plonger sur un site où ils n’auront que rarement la possibilité d’aller et pour nous d’explorer plus complètement cette partie du site qu’habituellement, nous ne faisons que traverser sans trainer afin d’éviter des paliers trop importants.
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- Écrit par : Jean-Pierre Parcy
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Ce week-end, notre « grand reporter-journaliste-photographe-vidéaste » Jean- Claude n’est pas venu …. snif ….
Serions-nous donc privés de notre compte rendu hebdomadaire?
Que nenni !!! Je me désigne vacataire-pigiste (en CDD d’une journée) pour relater l’activité de la section Plongée de ce samedi 27 juin.
La météo particulièrement souriante (grand soleil, 32 °,pas de vent!), a attiré une foule de 25 plongeurs de MSLC !!!
Heureusement : on ne leur avait pas communiqué la température de l’eau ….brrrrrr 14° à 40 mètres, 16 en surface …
Mais ça, on ne le sait qu’une fois dans l’eau, donc trop tard pour se laisser influencer.
Un groupe de 6 photographes s’embarque sur le Barracuda, pour une plongée à l'impérial de terre.
Le gros de la troupe (non, je ne désigne personne en particulier :-D...) prend place sur le Suscle, et nous leur emboitons le pas (façon de parler) direction Les Impériaux.
Seulement voilà, arrivés sur le site, il y a « moulon » comme on dit ici … Des bateaux partout , impérial de terre , impérial du milieu, impérial du large : tout le monde a eu la même idée !
On se déroute alors vers Caramassaigne, beaucoup moins fréquenté ce jour-là .
Une fois sur place se pose la question du mouillage, immergé à 3 mètres (ben oui, il paraît que les bouées , ça fait pas beau en surface).
Qui va passer le bout dans l’anneau? Pendant qu’on se regarde tous pour savoir qui va se mettre à l’eau (ou plutôt que chacun prend un air affairé et fait mine de s’occuper de son matériel lol), Eric, dans la plus grande abnégation, s’équipe et se jette à l’eau ! Merci Eric !
S’ensuit une super plongée sur un spot réputé pour sa flore abondante et colorée, où chacun énumère, au retour, la faune rencontrée : poulpes, mérous, dentis, langoustes, murènes, sars, saint-Pierre etc....
Et Lucien, parti en seconde rotation (et donc de retour le dernier), s’exclame en remontant sur le bateau « eh ben la grotte aux trois mostelles, c’est maintenant la grotte à zéro mostelle !!! »
Il semblerait que cette grotte habitées depuis toujours par trois mostelles (d’où son nom -on ne va pas chercher midi à quatorze heures par ici!) ait été désertée …
Il ne lui sera donc plus utile de « s’esprofondir » à 50 mètres dorénavant pour leur rendre visite ! n’est-ce-pas Lulu ?
Retour sans encombre dans notre calanque de Callelongue, pour un apéro bien mérité et un repas convivial sur notre terrasse. Mais sans Jean-Claude, c’est pas pareil !!!
Retour prévu samedi prochain, pour arroser son anniversaire (n’oublie pas Gégène!!!).
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- Écrit par : Myriam Melotto
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Pour ce samedi, Marc, Didier, Geneviève et moi avons décidé d’aller faire une plongée dans la calanque, plus particulièrement à la grotte dite de callelongue qui se trouve au pied du Sémaphore.
(Il faut compter environ 20 à 25 minutes de nages pour y accéder).
Après avoir nagé en surface jusqu’à la pointe gauche de la calanque nous nous sommes immergés par 14 mètres de fond dans une eau de visibilité moyenne et à la température de 15 à 16°, le mistral de toute la semaine l’ayant refroidie.
Cette grotte à pour particularité que son entrée est à 15 mètres et débouche en surface, lieu où l’on doit finir le film des "Rois Mages" qui vont découvrir enfin le lieu où celui qui vient de naître va changer le regard de l’homme sous la mer, je vous laisse le deviner ?...
Nous avons pu voir un reste de mue de langouste, des sacs plastiques évoluant au gré du courant et dans le petit port de la calanque sur le sable un squelette de poisson nous rappelant ainsi que l'homme est un carnivore et ne respecte pas toujours notre mère à tous, la Mer.
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- Écrit par : Jean-Claude Eugene
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